Consommer du poisson... Pas si bon pour la santé !
On l'a tous entendu au moins une fois : le poisson, c'est bon pour la santé. Pourtant, avec la pollution marine, ce n'est plus vraiment le cas. Il existe même des poissons, pourtant communément consommé, qu'il vaudrait mieux éviter ! Tous les détails ici.
On l'a tous entendu au moins une fois : le poisson, c'est bon pour la santé. Pourtant, avec la pollution marine, ce n'est plus vraiment le cas. Il existe même des poissons, pourtant communément consommé, qu'il vaudrait mieux éviter ! Tous les détails ici.
Et si finalement le poisson n'était pas si bon pour nous ? L'Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture recommande fortement de réduire sa consommation de poisson, et d'éviter certaines espèces.
Source d'oligos-éléments, de protéine et de vitamine D, certaines espèces pourraient également être une source de... Pollution ! À cause des humains, les cours d'eau seraient de plus en plus pollués et, par conséquent, les poissons.
Omniprésence du mercure
Le mercure est un métal pauvre (ou métal de transition), autrefois utilisé dans les thermomètres et dans les batteries. On trouve cet élément chimique naturellement dans la terre, mais on utilise encore aujourd'hui comme fongicide (destruction de champignons) ou comme bactéricide (anti-bactérien).
In extremis, qu'importe l'utilisation que l'on fait du mercure, il se retrouve dans nos mers et dans nos océans. Très sensibles à leur environnement, les espèces marines possèdent donc un taux de mercure élevé qui, à la suite de la chaîne alimentaire, se retrouve chez les humains. Les poissons sont d'ailleurs la première source d'exposition alimentaire de l'Homme au mercure.
Par conséquent, les poissons ci-dessous sont appelés à n'être consommés qu'une ou deux fois par semaine maximum.
Pour ne pas dépasser un seuil de contamination, l'Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture recommande les populations à consommer avec grande modération les espèces ci-dessous, ou pour certaines, à ne pas du tout les consommer.
