Protection des milieux naturels : le Québec à la traîne

Le Québec accumule du retard dans la protection de ses milieux naturels.


À peine 10 % des milieux naturels terrestres et 1 % des milieux aquatiques sont actuellement protégés. C’est qu’en 2010, la province a signé la Convention sur la diversité biologique : il s’agit d’une entente internationale prévoyant que chaque signataire devra contenir au moins 17 % d’aires protégées terrestres et 10 % d’aires marines d’ici 2020.

Il y a donc encore beaucoup de travail à faire.

Le gouvernement aurait probablement des comptes à rendre à ce sujet au cours de la prochaine année.

Les milieux protégés sont des alliés de taille en matière de lutte aux changements climatiques, en plus de contribuer à la préservation de la biodiversité.

Cependant, ils ont également des bénéfices économiques et sociaux. La Société pour la nature et les parcs (SNAP) rapporte que chaque dollar investi permet d’enrichir la communauté de 4 $.

*Informations tirées d'une publication de la Société pour la nature et les parcs (SNAP) *


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