Un chercheur de l’Université de Montréal fait une découverte étonnante
Un scientifique de l'Université de Montréal a mis au jour cette avancée importante. Explications.
Avancée importante
Un article publié dans la revue Nature par un groupe de scientifiques révèle une découverte importante. L’auteur principal de l’étude est un chercheur de l’Université de Montréal : Louis-Philippe Coulombe. Avec la contribution de l’instrument NIRISS du télescope spatial James-Webb, lequel est fourni par l'Agence spatiale canadienne, les astrophysiciens ont détecté des molécules d’eau dans l’atmosphère de l’exoplanète WASP-18 b. Compte tenu de la chaleur extrême qui y règne, cette révélation est étonnante. En analysant le spectre de cette planète tel que dévoilé par Webb, les chercheurs se réjouissent des innombrables possibilités qui s'offrent à eux pour de futures observations.
Un monstre brûlant
Cette géante gazeuse orbite très près de son étoile dont elle fait le tour en seulement 23 heures terrestres. Les dispositifs à bord du télescope ont permis aux chercheurs de cartographier l’atmosphère de WASP-18 b dont la température atteint 2700 °C. Cette exoplanète découverte avec la méthode du transit est située à environ 400 années-lumière de la Terre. Étant donné qu'elle présente toujours la même face à son astre, les scientifiques ont noté une immense différence de température entre les deux hémisphères délimitées par le terminateur. L'écart serait d'environ 1000 °C !
Source : Nature
