Ces Noëls ont été vraiment bizarres. Voyez pourquoi.
Le Québec en a vu de toutes les couleurs la journée de Noël, au cours des dernières années. Quels ont été les extrêmes du 25 décembre ?
Noëls les plus enneigés
Si Noël 2019 risque d'être célébré sur la pelouse pour quelques secteurs du sud du Québec, cela n'est pas le cas à tous les ans.
En effet, il est arrivé à plusieurs reprises que l'ensemble du territoire soit gâté par une tempête de neige, la journée du 25 décembre. C'est notamment le cas de 1966, où trois grandes villes (Montréal, Saguenay et Sherbrooke) ont battu des records de chutes de neige. Il est même tombé 35 centimètres de neige à Saguenay, cette année-là.
À Val-d'Or, le record est plutôt détenu par 1989, date à laquelle le tapis neigeux s'est épassi de 14 centimètres au cours de la journée de Noël.
Noëls les plus doux
Le mercure a déjà largement surpassé le point de congélation le 25 décembre au cours des dernières décennies. La palme de l'année la plus chaude appartient à 1964, où les températures ont même atteint 17,8 °C à Sherbrooke.
Val-d'Or fait encore chambre à part. C'est plutôt en 1982 que le record absolu de 7,7 °C a été fracassé au sein de cette ville du nord-ouest.
Noëls les plus froids
La première place du Noël le plus glacial appartient à Val-d'Or, où le mercure a atteint -39,3 °C en 2004.
Sinon, c'est l'année 1980 qui a marqué les esprits de plusieurs régions du Québec. Les villes de Montréal, de Saguenay et de Sherbrooke ont effectivement battu leurs records de froid polaire du 25 décembre.
