Les conditions idéales pour un été parfait, les voici.
Quand la météo n'est pas de notre côté, cela peut nous gâcher la vie. Mais, parfois, le hasard fait bien les choses et mère Nature nous offre les meilleures conditions pour pouvoir profiter de l'été ! Exemples ici.
Des fins de semaine parfaites, en veux-tu en voilà !
L'été 2002 fut marqué par un nombre très important de belles fins de semaine ! « Nous avons eu neuf beaux week-ends, dont cinq uniquement en août », explique Réjean Ouimet, expert météorologue à MétéoMédia, avant de souligner qu'en temps normal, on parle de six à sept belles fins de semaine pour toute la période estivale.
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Un été à rallonge
Plus de soleil, plus de journées au-dessus de 30 °C : les vendeurs de climatiseurs ont dû faire exploser leurs bénéfices lors de l'été 2005. « Le Québec a connu 23 journées au-dessus de 30 °C, ainsi que six canicules : la dernière a même eu lieu à la mi-septembre », rappelle M. Ouimet. De plus, tous les mois ont été plus ensoleillés que la moyenne.
Des vacances véritablement parfaites
S'il fallait décrire ses vacances idéales, celles de l'été 2012 répondraient à tous les critères ! Les congés de la construction ont été beaux pratiquement tous les jours : « de mémoire récente, on classe 2012 dans les bonnes années avec treize journées chaudes », indique notre expert météorologue.
Les parapluies, au placard !
Vous n'aimez pas la pluie ? L'été 2001 était fait pour vous ! En moyenne, le Québec connaît 38 jours de pluie pour la saison estivale, mais cette année-là, la province n'en a connu que 23. De plus, nous avons terminé la saison avec un total de 172 mm de pluie, soit près de 100 mm de moins qu'à l'habitude. Rappelons également qu'il y a eu une canicule de dix jours, entre le 1er et le 10 août.
Rarement aussi chaud
En 2018, il y a eu deux mois de records de chaleur, juillet et août : du jamais vu dans plusieurs régions du Québec. L'été 2018 se classe dans le top 5 des étés les plus chauds en 75 ans. Pour le Saguenay, ce fut l'été le plus chaud de son histoire, tandis que Montréal n'était pas très loin de son record de 1955.
Voyez le tweet de notre vidéaste-métérologue, Anne-Sophie Colombani, datant de l'année passée.
Moins de jours de temps violent, moins de précipitations et de jours de pluie pour la plupart des secteurs : les conditions ont été favorables pour ceux appréciant la chaleur.
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