L’hiver : saison la plus destructrice ?
Le smog est déclenché lorsqu’un grand nombre de particules polluantes en suspension s’accumulent. L’hiver, celles-ci proviennent entre autres des gaz d’échappement des voitures, et d’émission dues au chauffage des bâtiments. Selon le Gouvernement du québec, l’hiver nous passons 80% de notre temps à l’intérieur. Notre consommation électrique se voit ainsi quadrupler durant la saison froide puisqu’on cuisine davantage de mets au four, prenons des bains chauds plus féquemment et veillons à notre confort en augmentant la température ambiante à la maison. Quand au chauffage au gaz ou au bois, celui-ci émet plus de 2,5 grammes de particules fines à l’heure.
Lorsque les vents sont faibles, l’air pollué évacué de ces activités ne trouve aucun moyen de s’échapper normalement dans l’atmosphère. C’est ainsi que le smog se forme et nuit à la respiration de personnes asthmatiques ou souffrant de tout autre problème cardiaque ou pulmonaire.
Les transports en cause
Nos déplacements occasionnent aussi des émission de gaz à effet de serre superflues l’hiver. Les routes étant plus difficiles à silloner à cause de la neige et la glace font en sorte que le moteur travaille davantage pour combler la résistance que ça occasionne, ce qui augmente la consommation de carburant de 7 à 35%. Certaines personnes ont également l’habitude de faire rouler leur voiture avant de prendre la route pour la réchauffer, ce qui émet beaucoup de particules polluantes.
Contrairement à l’été, il est plus difficile de manger des fruits et légumes locaux l’hiver. Le fait de consommmer des produits exportés est une autre cause de la pollution qui atteint des sommets. Raison de plus pour résuire sa comsommation énergétique et poser de bons gestes pour la planète durant les quatre saisons de l’année !